samedi 16 janvier 2010

Tout va bien Mme la Marquise ! Et le PS aussi.

Les temps sont durs pour les humoristes ; ni Canteloup, Gerra ou Roumanoff, ni les chansonniers des Deux Anes ne peuvent plus rivaliser avec le PS, le seul grand amuseur de notre pays. Au chômage les autres !
Presque chaque semaine, nous avons le plaisir de rire aux larmes avec le lot de sketchs élaborés par nos humoristes (involontaires) du PS ; en parenthèse, je présente mes excuses à la mémoire de Jean Jaurès et Léon Blum ainsi qu’aux vrais socialistes d’antan, mais comme ils n’ont pas encore changé de nom…
Il y a quelque temps, la belle et toujours souriante Ségolène, plus royale que jamais, s’invitait à Dijon car elle se sentait « bien chez elle » là où précisément personne n’en voulait. Nous avons tous rigolé sauf Vincent Peillon son ex partisan et nouvel adversaire, camaraderie oblige. Un peu avant, la même Ségolène abreuvait des excuses ceux qui n’en demandaient pas !
Je reviens à Peillon qui a fait plus fort ; invité à une émission télévisé, il décide d’une manière préméditée de faire faux bond en dernière minute ; suite à quoi, il demande la démission d’Arlette Chabot, la responsable de la chaîne ; ce n’est pas de l’humour ?
Mais, le summum c’est la découverte de plusieurs responsables socialistes ; nous sommes en plein vichysme !
D’abord ils se sont mis à deux poux traiter leur ex-collègue à la direction de PS de…Laval et Déat et Marquet. Mais bien sur, c’est l’occasion de nous rappeler que le passage du socialisme au fascisme fut un sport pratiqué joyeusement à une époque et ce n’est pas uniquement ces trois personnes qui l’ont pratiqué ; sauf erreur, c’est la majorité des députés socialistes de l’Assemblée de l’époque qui votérent des pleins pouvoirs à Pétain ! Es-que MM Cambadelis et Huchon ont souhaité nous le faire rappeler et souligner cette tendance unilatérale ? (car je ne connais pas des fascistes qui se sont convertis aux socialisme.) Dans ce cas, c’est très bien, sinon c’est de l’humour (involontaire, bien sûr.)
Mais ce qui m’a fait le plus marrer c’est l’intervention de Roland Dumas, traitant la proposition d’une loi contre la burqua de vichyste. Ce fut une simple confusion : il se croyait toujours en compagnie de son patron et ami, le plus grand serviteur de Vichy qui a sévi longtemps dans l’après guerre ! Peut-être le reconnaîtrons-nous ?



Il faut pardonner à M. Dumas ; cette bourde est le résultat d’un vieillissement accéléré par des excès sexuels en compagnie d’une plus jeune et active péripatéticienne ; qui a monnayé ces « faveurs » en contrepartie des largesses payées avec l’argent du contribuable français via Elf. Eh bien ; ceci ne vous fait pas rire ?

Sorel Zissu
Janvier 2010

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