samedi 29 décembre 2012

LA GAUCHE : l’ennemi du peuple.


En préambule à ce texte dont le titre  peut paraitre au moins exagéré sinon provocateur, je tiens à rendre hommage au journaliste Hervé Algalarrondo, qui  plus est le rédacteur en chef adjoint du Nouvel Observateur, organe on ne peut plus représentatif de la gauche bobo. Ce qui rend encore plus surprenant son courage d’attaquer dans deux opuscules la politique de la gauche dont l’un a inspire mon titre : La gauche contre le peuple.(1)
J’analyse la responsabilité de la gauche pour les malheurs des gens du peuple, les sans grade qui désespèrent des trahisons successives, ininterrompus, de la part de socialistes français. Sous le vocable « gauche » je m’adresse uniquement aux socialistes et leurs alliés proches, car pour moi les communistes et les trotskistes n’ont jamais été de gauche ni dans leur actions ni dans leurs buts finaux. Ceux-ci, vulgairement dénommés « extrême gauche » sont simplement des adeptes d’un type de dictature crypto-fasciste dont les nombreux peuples ont déjà « goutés » les fruits.
Revenons donc à la gauche appelée modérée, historiquement  défenseur du peuple, des exploités, des gagne-petit, des ouvriers, artisans et petits employés. Elle les a abandonnée, les a trahis tout simplement. Le bilan de cette trahison est tellement épouvantable, tellement monstrueux, que la révolte gronda et elle s’est manifesta dans les urnes : le « petit peuple » dans une proportion   éclatante, a déserté le vote socialiste, pour se retrancher vers la droite et le FN.
 J’analyserai plus bas chaque domaine dans lequel la gauche a fait preuve d’une abominable traîtrise de sa base populaire. Mais d’abord, soulignons une preuve éclatante de cette thèse, par le rapport du think tank socialiste  Terra Nova (2) ; ce dernier, sans aucune pudeur, sans aucun sens moral mais avec la morgue et le mépris caractéristique des  gens de la « haute » envers les humbles,  a conseillé au PS l’abandon du peuple français, à la faveur de « l’ouverture aux différences, une attitude favorable aux immigrés, à l’islam, à l’homosexualité… » Cet aspect du divorce entre le peuple et la gauche a été  bien mis en évidence dans une émission de France Culture, opposant Jean-François Kahn au président de Terra Nova, Olivier Ferrand. Je ne suis, loin de ca, un fan de J-F Kahn, mais je ne peux pas m’empêcher d’applaudir à sa conclusion : si le peuple déserte la gauche, c’est que le peuple a mal tourné ! C’est la doxa des socialistes.

Insécurité, une première traîtrise
Qui se rappelle ce qu'étaient  il y a pas si longtemps, les banlieues et les quartiers populaires, peuplés par des artisans, des petits commerçants, employés et ouvriers, vivant en une certaine harmonie. Ces gens ont été petit à petit abandonné (par tous les gouvernements, c’est vrai)  à des gangs de dealers, des malfrats dangereux et des excités religieux qui imposent par la force leurs lois du plus fort. Dans ces « territoires perdus de la République » les gens du peuple qui avaient les moyens se sont enfuis, les autres sont obligés de supporter les oukases des caïds de toute sorte et de leurs bandes de sicaires sauvages.
Devant ce phénomène, l’attitude de la gauche s’est résumé longtemps à déclarer qu’il ne s’agit pas de l’insécurité mais « d’un sentiment d’insécurité » comme si le problème se résumait à une question de déviance psychique ! Si enfin, la réalité a commencé à dessiller les yeux grands fermés de ces belles âmes, ce n’est pas dans la réalité qu’elle se concrétisa. Le nouveau gouvernement a nommé l’impayable Christiane Taubira  Ministre de la Justice, une des plus grandes catastrophes dans l’équipe actuelle, bien que pas la seule. Elle commença par annoncer la suppression des tribunaux correctionnels pour les mineurs comme celle des peines plancher et globalement moins de répression. Le message fut rapidement compris par la pègre, le nombre de crimes et actes de grand ou moyen banditisme se sont multipliés comme des petits pains. Le pauvre Manuel Valls ne  fait que  courir sur les lieux des crimes et prononcer des discours, il n’a pas le temps ni les moyens de faire autre chose. Et même s’il arrivait à proposer des actions concrètes, je laisse le soin à une quantité de juges qui louchent bien à gauche, pour remettre en liberté les plus dangereux criminels. Pour la joie de Mme Taubira qui exulte  littéralement.

Abandon des valeurs républicaines, l’autre traîtrise
A ce sujet, je souligne surtout  l’acceptation des actions contraires aux valeurs et symboles de la République ; et en particulier à la laïcité dans des endroits et dans les entreprises où, par le nombre de personnes y habitant ou travaillant, constituent un vivier idéal à la propagation d’un islamisme de type salafiste-wahhabiste. La gauche qui s’est toujours réclamée comme un vecteur de progrès, de liberté, de l’égalité hommes-femmes, de non-discrimination, elle ferme les yeux devant des actions contraires à ces valeurs :
-        Des viols de femmes considérées comme des « putains » car ne s’habillant suivant les règles des barbus.
-        Des insultes et des agressions contre les femmes en général, considérées comme des êtres inférieurs.
-        Des agressions anti-juives.
-        Des agressions contre les citoyens transgressant des « lois » religieuses, comme par exemple,  le jeune de Ramadan.
-        La mainmise des locaux publics pour des cérémonies cultuelles.
-        L’imposition  dans des endroits publiques à des pratiques religieuses, que ce soit les repas halal, des locaux distinctes pour les hommes et les femmes, le port des vêtement spécifiques etc.
-        La pratique de la polygamie, de l’excision.
-        Des agissements illégales et inacceptables, comme le fait de brûler le drapeau français et le remplacer par celui algérien, de siffler la Marseillaise pendant des épreuves sportives, épreuves souvent émaillée par des  actes de hooliganisme. 
-        Des manifestations sur les lieux publics avec des slogans racistes, manifestations de haine, appels aux meurtres.
-        Des groupuscules professant une haine envers la France, envers les blancs, appels aux  meurtres contre forces de l’ordre et j’en passe ; de plus, certains de leurs représentants sont  invités régulièrement à la télévision et dans les radios publiques pour déverser leur haine à l’égard de la France, de l’Occident, des blancs. Voir Mme Houria Bouteldja, qui parade régulièrement sur les écrans de TV, répandant ses paroles de haine et dégoût de tout ce qui représente notre civilisation, tout ceci sous les regards paisibles, sinon approbatifs de certains journalistes dont le penchant vers la gauche ne fait pas de mystère.
D’autres exemples sont trop nombreux pour pouvoir les contenir dans ce texte.

La traîtrise économique
Suivant l’encouragement de Terra Nova d’abandonner le petit peuple à la faveur des minorités  (pour la plupart issues de l’immigration de peuplement) les socialistes préfèrent de favoriser économiquement les immigrés, y compris les clandestins
-         Par l’octroi de l’Aide Médicale de l’Etat aux sans papiers, aide qui est souvent détourné vers des actes de confort et ceci dans un contexte de quasi faillite du système français de santé.
-        Par la mise en place d’une politique de discrimination  positive dans les entreprises publiques,  octroyant des places préférentiellement aux personnes issus de la « diversité », sans tenir compte ni des besoins des autochtones et encore moins des compétences. Un rapport du Centre de Recherche sur le Renseignement signé par son directeur – Eric Denécé – souligne la présence de réseaux de recrutements basés exclusivement sur des critères ethnico-religieux  dans certaines entreprises publiques ou de délégation de service public. (5)
-        Par les subventions importantes, accordées par des autorités territoriales ou nationales à des associations non représentatives dont le but est d’agir en faveur de l’immigration, des  sans papiers et leurs régularisation massive, de créations de locaux cultuels (avec des fonds publics). Et parmi celles-ci, des associations qui ont comme objectif à peine dissimulé, d’empêcher l’intégration des immigrés et leurs descendants.
Dans ce contexte, il ne faut pas s’étonner la rupture claire et durable entre la gauche et le petit peuple, rupture qui se manifeste de plus en plus dans les urnes. D’où, le rapport cynique de Terra Nova et l’appel désespéré de 70 députés socialistes en faveur de l’adoption urgente de la proposition pour le droit de vote aux étrangers,  avant les élections municipales de 2014. Pour sauver leur places, les idéaux passent aux pertes et profits.
Quelle déchéance pour le parti de Jaurès et Blum qui doivent se retourner dans leur tombe, si ce n’était déjà fait pendant les 14 ans de présidence de François Mitterrand.

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