Tout le monde (ou presque) connait le désastre de la
politique actuelle de nos dirigeants et principalement du premier d’entre eux,
le Président de la République, François Hollande. On peut comparer les effets ravageurs
de sa politique avec le typhon qui a provoqué
les dégâts subis par le pauvre peuple thaïlandais, la décrédibilisassions
internationale en plus.
Mais hier, le 11 novembre 2013, sur les Champs Elysée, les
français assistaient à une manifestation de grande importance, en souvenir de
la Grande Guerre et ses souffrances et en honneur des militaires morts pour la
France. Les sifflements, les huées, les incidents provoqués par une partie de
la foule m’indignent, me font honte car c’est une salissure, encore une, à la
dignité du pays. Ce sont des manifestations d’un mépris pour ce qui reste de la
dignité nationale. Ce sont des manifestations qui résultent de l’abandon de l’autorité
à tous les niveaux, de l’abandon de toutes valeurs morales dont celui du respect
de la nation et de ses symboles. Et ceci depuis plusieurs décennies, depuis que
le laisser-aller, la permissivité totale, le slogan « est interdit d’interdire »
sont devenus monnaie courante, une idéologie souveraine dans notre pays.
Ceci me fait penser aux conséquences qui seront inévitables
le jour où toute l’autorité publique serait inopérante : les hordes de ces
écervelés haineux se rueront sur nos
maisons, sur les membres de nos familles pour piller, tuer et détruire tout ce
qui veulent ou tout ce qui se présente sur leurs chemins. C’est à cela qui nous
conduit une politique de laxisme généralisé, la création d’une populace qui ne
craigne rien, tout étant permis.
Il est grand temps qu’une autre politique soit mise en
place, une politique de réhabilitation d’une discipline républicaine, du respect
pour nos valeurs, pour les maîtres de l’école, pour les parents, et surtout
pour les représentants de nos institutions : policiers et gendarmes,
pompiers etc.
J’attends de nos gouvernants futurs, dès leur prise du
pouvoir, une mise en place des lois fortes et justes –si nécessaire sous forme
de décrets - avec des peines indiscutables - pour toute manifestation de haine
à l’égard du pays, de ses symboles, de ses représentants qu’elle soit violentes
ou par paroles. Que les rappeurs qui instillent cette haine dans les têtes
écervelées de certains jeunes soient punis ; que les parents d’élèves qui
refusent des matières enseignées à l’école soient punis ; que les
représentants de cultes ou des associations qui incitent au refus de la
légalité républicaine soient punis ; que des actes conduisant à la détérioration ou la destruction
des biens publics soient punis. Et enfin, que toute zone de non-droit, toute
parcelle de « territoire perdu de la République » soit reconquise. Et
tout cela, sans la possibilité que des troupes d’avocats en connivences avec
des juges marqués idéologiquement, puissent faire obstruction à leur
application. Et sans tenir compte des cris d’orfraies des « commissaires
de la pensée » français ou de Mme Reding la suffisante, inutile et nulle commissaire
européenne des droit de l’homme.
Il est grand temps que le pays retrouve un minimum de
légalité réelle et de respect envers elle-même, pour retrouver aussi une pleine
légitimité internationale.
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